TEMOIGNAGE |
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08/04/2003 |
Jef, Propriétaire du TRICAT No 2 |
- L'avis d'un propriétaire: Choix du TRICAT |
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Expérience du bivouac
Premier bivouac avec le TRICAT, il faut bien se lancer.
Je profite de la visite de mes amis montagnards pour leur
proposer une petite virée à lîle de Bréhat. Deux ans auparavant, ils
ont déjà eu l’occasion de visiter cette petite merveille, mais de
manière la plus classique (navette le matin au départ de L’arcouest
et retour le soir par la même navette).
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Cette fois-ci, il en est tout autre puisque
nous avons programmer un bivouac sur l’île (théoriquement interdit
!). Beau temps, belle mer. Nous embarquons à 5 sur le tri pour
notre échappée belle. Une petite vingtaine de miles nous sépare
de l’île. Par un vent faible
et au près, nous n’établirons pas un record de vitesse, mais les
passages en douceur au milieu des cailloux de Bréhat sont d’une
beauté…
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Nous remontons le passage de La Chambre
(pour les connaisseurs), slalomons entre les bateaux au mouillage et
trouvons (par hasard) une petite crique. Nous posons le tri
après un superbe réflexe d’une des équipière qui n’a pas hésiter à
se jeter à l’eau pour amortir le beachage. (sous le goémon, il y a
parfois des cailloux tranchants !). Les marées bretonnes nous
obligent à remonter le bateau au sec à l’aide de nos boudins
gonflables.
La guitoune familiale vite montée,
nous enfilons le short et les baskets et partons à la découverte de
notre île qui n’est pas tout à fait déserte.
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La surprise viendra du fait que notre
bivouac n’est en fait qu’à environ 200 mètres du bourg via un petit
sentier. Voilà qui facilitera notre prochaine expédition
nocturne. C’est également de bonne augure pour celui ou celle
qui sera le plus matinal pour l’inévitable corvée des croissants
chauds. La nuit étant plutôt fraîche sous nos latitudes, nous nous
essayerons même au traditionnel feu de camp (sans résultat). Le
lendemain, le bivouac replié, nous regagnerons rapidement notre port
d’attache (ou plutôt notre plage) Les conditions météo changent (un
peu moins de soleil et un peu plus de vent).
Qu’importe, mes copains montagnards
emmagasinent leur capital souvenir (moi aussi).
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